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Loisirs d'été
Aujourd'hui j'aimerais connaître vos loisirs pendant l'été ?
Méditation :
Initiation à la méditation !
Danse classique :
Danse moderne :
Tennis :
Jeu de balles :
Aqua-Gym :
SPA :
Bronzette :
Spéléo :
Plage et jeux de sable :
Voyages ?
Moi ce sera :
Prendre soin de mon Ronchon Adoré
Tags : loisirs, danse, meditation, classique, moderne, vacances, voisine
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Commentaires
Moi, je ne pars en vacances qu'au mois de septembre quand tout le monde aura repris le chemin du travail et pour les enfants le chemin des écoliers.Bisous
4SarvenazianJeudi 2 Août 2012 à 23:20j'aimerai l'espace d'un instant faire comme le chat sur la chaise longue.....hi hi hi bonne journée
Mdrrrr !
Pour moi, pas de vacances. Je ne pars que quelques jours, tout au cours de l'année ...
Bonne fin de semaine.
Bisoux
dom8mitou la bretonneVendredi 3 Août 2012 à 07:29coucou Violette
Bon les loisirs pour nous c'est à partir d'aujourd'hui les travaux de peinture sur la maison !!! lol
gros bisous et bonne journée
MITOU
Je ne bouge pas ... je reste chez moi ... et je brode
Bonnes Vacances Martine, BISOUS et CÂLINS
merci pour ce moment bien sympa!! bien, moi mes courgettes sont butinées, je vais passer à un petit moment de lasure des fenêtres, puis courgettes à cuisiner et si je peux, un peu de couture avant qu'il ne fasse trop chaud!!! bisous ma belle
coucou violette , hé bien , j'aimerais faire tout ça ,sans ton ronchon , va de soit , il y a de l'hardanger dans l'air!!!
bonne journée , gros bisous
je vais envoyer Picasso méditer avec le moine!
ça me fera des vacances!
passe une douce journée ...
porte toi bien, merci de ta fidélité ....comme je ne vais nulle part , je voyage avec mon ordi .....
Le Voyage
Extrait Des Fleurs Du Mal.
Par Charles Baudelaire
Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes,
L'univers est égal à son vaste appétit.
Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes !
Aux yeux du souvenir que le monde est petit !
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers :
Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ;
D'autres, l'horreur de leurs berceaux, et quelques-uns,
Astrologues noyés dans les yeux d'une femme,
La Circé tyrannique aux dangereux parfums.
Pour n'être pas changés en bêtes, ils s'enivrent
D'espace et de lumière et de cieux embrasés ;
La glace qui les mord, les soleils qui les cuivrent,
Effacent lentement la marque des baisers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Ceux-là dont les désirs ont la forme des nues,
Et qui rêvent, ainsi qu'un conscrit le canon,
De vastes voluptés, changeantes, inconnues,
Et dont l'esprit humain n'a jamais su le nom
II
Nous imitons, horreur ! la toupie et la boule
Dans leur valse et leurs bonds ; même dans nos sommeils
La Curiosité nous tourmente et nous roule,
Comme un Ange cruel qui fouette des soleils.
Singulière fortune où le but se déplace,
Et, n'étant nulle part, peut être n'importe où !
Où l'homme, dont jamais l'espérance n'est lasse,
Pour trouver le repos court toujours comme un fou !
Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie ;
Une voix retentit sur le pont : "Ouvre l'oeil !"
Une voix de la hune, ardente et folle, crie .
"Amour... gloire... bonheur !" Enfer ! c'est un écueil !
Chaque îlot signalé par l'homme de vigie
Est un Eldorado promis par le Destin ;
L'Imagination qui dresse son orgie
Ne trouve qu'un récif aux clartés du matin.
Ô le Pauvre amoureux des pays chimériques !
Faut-il le mettre aux fers, le jeter à la mer,
Ce matelot ivrogne, inventeur d'Amériques
Dont le mirage rend le gouffre plus amer ?
Tel le vieux vagabond, piétinant dans la boue,
Rêve, le nez en l'air, de brillants paradis ;
Son oeil ensorcelé découvre une Capoue
Partout où la chandelle illumine un taudis.
III
Etonnants voyageurs ! quelles nobles histoires
Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers !
Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires,
Ces bijoux merveilleux, faits d'astres et d'éthers.
Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile !
Faites, pour égayer l'ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d'horizons.
Dites, qu'avez-vous vu ?
IV
"Nous avons vu des astres
Et des flots ; nous avons vu des sables aussi ;
Et, malgré bien des chocs et d'imprévus désastres,
Nous nous sommes souvent ennuyés, comme ici.
"La gloire du soleil sur la mer violette,
La gloire des cités dans le soleil couchant,
Allumaient dans nos coeurs une ardeur inquiète
De plonger dans un ciel au reflet alléchant.
"Les plus riches cités, les plus grands paysages,
Jamais ne contenaient l'attrait mystérieux
De ceux que le hasard fait avec les nuages.
Et toujours le désir nous rendait soucieux !
"- La jouissance ajoute au désir de la force.
Désir, vieil arbre à qui le plaisir sert d'engrais,
Cependant que grossit et durcit ton écorce,
Tes branches veulent voir le soleil de plus près !
"Grandiras-tu toujours, grand arbre plus vivace
Que le cyprès ? - Pourtant nous avons, avec soin,
Cueilli quelques croquis pour votre album vorace,
Frères qui trouvez beau tout ce qui vient de loin !
"Nous avons salué des idoles à trompe ;
Des trônes constellés de joyaux lumineux ;
Des palais ouvragés dont la féerique pompe
Serait pour vos banquiers un rêve ruineux ;
"Des costumes qui sont pour les yeux une ivresse ;
Des femmes dont les dents et les ongles sont teints,
Et des jongleurs savants que le serpent caresse."
V
Et puis, et puis encore ?
VI
"Ô cerveaux enfantins !
"Pour ne pas oublier la chose capitale,
Nous avons vu partout, et sans l'avoir cherché,
Du haut jusques en bas de l'échelle fatale,
Le spectacle ennuyeux de l'immortel péché
"La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide,
Sans rire s'adorant et s'aimant sans dégoût ;
L'homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide,
Esclave de l'esclave et ruisseau dans l'égout ;
"Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ;
La fête qu'assaisonne et parfume le sang ;
Le poison du pouvoir énervant le despote,
Et le peuple amoureux du fouet abrutissant ;
"Plusieurs religions semblables à la nôtre,
Toutes escaladant le ciel ; la Sainteté,
Comme en un lit de plume un délicat se vautre,
Dans les clous et le crin cherchant la volupté ;
"L'Humanité bavarde, ivre de son génie,
Et, folle maintenant comme elle était jadis,
Criant à Dieu, dans sa furibonde agonie :
Ô mon semblable, ô mon maître, je te maudis !"
"Et les moins sots, hardis amants de la Démence,
Fuyant le grand troupeau parqué par le Destin,
Et se réfugiant dans l'opium immense !
- Tel est du globe entier l'éternel bulletin."
VII
Amer savoir, celui qu'on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd'hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image
Une oasis d'horreur dans un désert d'ennui !
Faut-il partir ? rester ? Si tu peux rester, reste ;
Pars, s'il le fàut. L'un court, et l'autre se tapit
Pour tromper l'ennemi vigilant et funeste,
Le Temps ! Il est, hélas ! des coureurs sans répit,
Comme le Juif errant et comme les apôtres,
A qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau,
Pour fuir ce rétiaire infâme : il en est d'autres
Qui savent le tuer sans quitter leur berceau.
Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine,
Nous pourrons espérer et crier : En avant !
De même qu'autrefois nous partions pour la Chine,
Les yeux fixés au large et les cheveux au vent,
Nous nous embarquerons sur la mer des Ténèbres
Avec le coeur joyeux d'un jeune passager.
Entendez-vous ces voix, charmantes et funèbres,
Qui chantent : "Par ici ! vous qui voulez manger
"Le Lotus parfumé ! c'est ici qu'on vendange
Les fruits miraculeux dont votre coeur a faim ;
Venez vous enivrer de la douceur étrange
De cette après-midi qui n'a jamais de fin ?"
A l'accent familier nous devinons le spectre ;
Nos Pylades là-bas tendent leurs bras vers nous.
"Pour rafraîchir ton coeur nage vers ton Électre ! "
Dit celle dont jadis nous baisions les genoux.
VIII
Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! levons l'ancre !
Ce pays nous ennuie, ô Mort ! Appareillons !
Si le ciel et la mer sont noirs comme de l'encre,
Nos coeurs que tu connais sont remplis de rayons !
Verse-nous ton poison pour qu'il nous réconforte !
Nous voulons, tant ce feu nous brûle le cerveau,
Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ?
Au fond de l'Inconnu pour trouver du nouveau !16A & JVendredi 3 Août 2012 à 13:39Comme quoi, quand on veut bien se donner la peine on trouve une occupation (lol) !!
Merci de cet agréable passe temps et douce fin de semaine à toi !
Bises de Nicole
Hello Violette, c'est pour moi, l'aqua gym et mes ronchons...
La maison est ouverte pour les plaisirs de l'été car le soleil s'invite ce weekend. Belle soirée
http://parfumsdecampagne.over-blog.com
Je suis en retraite donc en vacances toutes l' année,
et je pratique toutes ces activités avec grand bonheur
Et je bichonne aussi mon FuFu chéri.
Super belles toutes ces photos.
Grosses bises Violette.
spéléo c'est mon chat tout cracéh
merci pour ces idées de palge et en bonne compagnie
jspr que tu vzas bien ton époux également
bises
Coucou ma douce Violette,,,Je passe pour prendre ma dose de rigolade,,,j'ai trop aimé mon amie parfumée,,,Elles sont toutes très bien,,,Moi je travaille ,,,je passe mon temps libre à mes créations et mon Chéri,,,Je te souhaite une belle journée,,,Bisous,,,Bisous,,,LA MURE,,,,Caline bien ton ronchon,,,D'ailleurs cela fait parti de mon temps libre,,,L'AMOUR;;;;hi!hi!hi!
Super images trop rigolotes j'aime bien la dernière "prendre soin de ton Ronchon"je fais ça aussi
je devrais l'appeler ainsi aussi car en ce moment ronchonne tout le temps !!!!
passe un agréable weekend Violette, annonce de pluie cependant pour dimanche
bises
28mitou la bretonneSamedi 4 Août 2012 à 08:00Je passais juste par là pour te souhaiter un bon week end !! et j'ai à nouveau regardé les photos !!!! lol
gros bisous
MITOU
trognons comme tout les petits chats mais le reste est beau aussi
belle journée à toi
bisous
sylvie
Hello, en espérant que tu vas bien, je passe avec le soleil pour faire mon coucou du jour.
Bise
Je t'avais écrit un roman et lors du tonnerre, tu vois la suite au dessus .
Je reprendrai plus tard. Gros bisous ma Violette .
Presque rien de tout cela , si ce n'est les balades encore et encore plus ou moins longues ou ....... imposées !!!comme celle de Béthune
Bon dimanche aprem Violette et son Ronchon adoré
Bizzzzz
MOI JE NE PARS PAS EN VACANCES MAIS J'AIME BIEN LES JEUX DE BALLES AVEC LES ELEPHANTS ET L'ELEPHANTEAU DONT JE SUIS FAN PUIS JE LES PRENDRE?????
JE TE SOUHAITE UNE DOUCE SOIREE
CHANTAL
j' adore toute tes photos, elles sont vraiment drôle j' aime le chat dans le livre kool la vie merci ma belle pour tout ça a bientôt passe une bonne et agréable journée bisous
Oooh c'est trop chouette cet article! Tu sais vraiment faire parler les images toi! Prends bien soin de ton Ronchon. Nous, c'est recherche d'appart principalement et création bien sûr! Bisettes à la framboise!
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et bien pour moi ça sera randonnée en montagne, nous partons dans les pyrénées.
Bises et bonne soirée